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SUR LES TRACES DU CHE

12 octobre 2011

TRAS LAS HUELLAS DEL CHE

Prologo                    

che02Treinta de noviembre, las 8 de la noche…… la hora de los informativos en la tele…….. después de la letanía de todas las malas noticias que serán desarrolladas, el presentador  abre  su espacio con un noticia policial, siniestra como siempre, para atrapar  al telespectador : una anciana de sesenta y nueve años quedó encerrada veinte días en su cuarto de baño antes que los vecinos dieran cuenta de su ausencia!  Como a todo el mundo obviamente la noticia me conmovió, pero lo que más  me molestó fue que tildó de anciana  a una persona de sesenta y nueve años!

-   Carajo! Tengo sesenta y uno…. y no me siento un anciano!

Apago esa tele deprimente, y voy a prender mi  computadora para tratar de tener noticias de mis amigos (y amigas)  latinos   del otro lado del mundo.

Hacen ya  8 meses que estoy de vuelta de mi periplo por América Latina  y no pasa un solo día sin que la nostalgia de ese viaje me invada. Estoy pensando en volver, en cuanto pueda, nada concreto por ahora…

Me gustaría volver, quizás solo nuevamente, hacer otro camino, quizás Uruguay y Paraguay que no conozco, sentir de nuevo esa secreción de adrenalina cuando se arriba a una tierra  desconocida, en  ciudades a veces hostiles, con gente diferente, de otro nivel social o cultural; ¿lograré  ser aceptado, crear buena onda, comunicarme, compartir algunas cosas con ellos?

Siempre esa angustia…

Angustia porque el viaje fue preparado gracias a esos “maravillosos” guías que le dan muchos consejos al viajero : cuidado con los mosquitos que transmiten el dengue, cuidado con los ladrones que le roban su equipaje en las terminales de buses del tamaño de aeropuertos , cuidado con la gente que los intercepta en la calle y les tira escopolamina en la cara para dejarlo medio atontados  y así  obtener el código de su tarjeta de banco, cuidado con la policía corrupta que puede atraerlos hacia una trampa y desplumarlos ellos también, cuidado con los alimentos que no conocen normas de higiene ni cadena de frío, cuidado con los buses vetustos y sin seguro conducidos por choferes alcoholizados a quienes solamente masticar coca los mantiene despiertos ……… páginas y páginas de angustia !

Y como si esto no alcanzara, buscamos en internet para comprobar si todos esas historias  pasaron realmente, tal como cuando estamos enfermos y queremos averiguar cuál es la enfermedad que nos afecta, y la cantidad astronómica de informaciones leídas, exactas o exageradas, hacen que al final estemos más enfermos!

Pero, milagro de América Latina, esa angustia que precede cada vez la llegada a una nueva ciudad desaparece ni bien llegado. Salvo el realizar el  cabotaje de poblado en poblado, las compañías de buses no tienen nada que envidiarle a los servicios prestados por ciertas compañías aéreas europeas, con el agregado del ambiente latino, dormimos, comemos, hablamos con los vecinos, son ellos quienes  nos dan los buenos consejos, las direcciones convenientes,  donde parar, donde dormir…

En tres meses de vagabundeo en buses por el continente sud americano, no encontré jamás esos ladrones  que aprovechan su sueño para abrir su mochila con una navaja y robar lo que contiene de valor, tampoco me encontré con esos falsos policías que lo apartan bajo pretexto de un control de identidad y que lo desvalijan, no mas que esos aduaneros corruptos que al momento de la revisación se quedan con vuestro equipaje.

 

Sin duda la suerte estaba de mi lado. Pero cuando se repite día a día durante tres meses, podemos pensar en otra cosa.

Si somos creyentes, vamos a pensar en esos “ espíritus “ que velan por nosotros y que nos protegen a lo largo del camino ; si no sabemos mucho en que creer, vemos “signos” que no siempre pueden ser fruto de la casualidad, como la primera persona que me alojó en Chile, María Angélica , que nació un 5 de diciembre como yo ; o como esa muchacha de Cali que conocí  en un bus hacia Salta, en el norte Argentino y con quien me volví a encontrar en otro bus entre Ecuador y Colombia ; o también ese sueño sobre un terremoto que tuve  mientras dormía en un bus nocturno y enterarme a la mañana siguiente que efectivamente la tierra había temblado en Mendoza , ciudad que había dejado la víspera.

La probabilidades de que todo eso ocurra son  casi nulas y se le atribuyen siempre a este tipo de fenómenos explicaciones más o menos místicas!

A un viaje como ese como este podemos partir… ateo, volvernos…agnóstico en el camino, y un poco… iluminado  al regreso!

Continuara...?  si : compra el libro  y si este libro le gustó, hágaselo conocer a otras personas…Será mi mayor recompensa, y una contribución extra para Fundancer de Bogotá,  una fundación de ayuda a los niños enfermos de cáncer, ya que 3 euros por cada libro vendido le serán destinados.

PERO...UN POCO PACIENCA....POR EL MOMENTO ....LA EDICION FRANCESA ESTA TRADUCIENDO....PUBLICACION EN NOVIEMBRE

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12 octobre 2011

SUR LES TRACES DU CHE

Prologue

che01Trente novembre vingt heures... c'est l'heure des infos à la télé...après la litanie de toutes les mauvaises nouvelles qui seront développées, le présentateur ouvre son journal par un fait divers ...glauque comme toujours pour mieux fixer letéléspectateur : une vieille dame de soixante neuf ans est restée enfermée vingt jours dans sa salle de bains avant que les voisins ne s'aperçoivent de son absence ! Comme tout le monde j'ai bien sûr été choqué, mais ce qui m'a le plus révolté c'est qu'il ait qualifié de « vieille dame » une personne de soixante neuf ans !

-Merde ! J'en ai soixante et un...et je ne me sens pas être un « vieux monsieur » !

Je quitte cette télé déprimante, et je vais ouvrir mon ordinateur pour essayer de prendre des nouvelles de mes amis, (et amies) « latinos » de l'autre côté du monde.

Voila maintenant huit mois que je suis de retour de mon périple en Amérique latine, et il ne se passe pas un jour sans que la nostalgie de ce voyage ne m'envahisse. J'envisage d'y retourner dès que possible, rien de précis encore ...

J'aimerais y revenir, peut-être à nouveau seul , faire un autre chemin, peut être l'Uruguay et le Paraguay que je ne connais pas du tout ; sentir à nouveau ces montées d'adrénaline lorsqu'on arrive en terre inconnue, dans des villes parfois hostiles, avec des gens différents, d'un autre niveau social ou culturel ; va-t-on réussir à se faire accepter, à créer un courant de sympathie, à communiquer, à partager quelque chose avec eux ? Toujours ces angoisses...

Des angoisses, parce que le voyage avait été préparé grâce à ces « merveilleux guides » qui donnent de nombreux conseils aux voyageurs : attention aux moustiques qui vous rendent malade de la dengue, attention aux nombreux voleurs qui vous détroussent de vos bagages dans les « terminal de buses » grands comme des aéroports, attention aux passants qui vous croisent dans la rue et vous jettent de la scopolamine au visage pour vous transformer en zombie, afin d'obtenir le code de votre carte bancaire, attention à la police corrompue qui peut vous attirer dans un traquenard et vous plumer elle aussi, attention à l'alimentation qui ne connait ni l'hygiène, ni la chaine du froid, attention à ces bus vétustes et non assurés conduits par des chauffeurs alcoolisés que seule la mastication de la coca tient éveillés...des pages et des pages d'angoisse !

Et comme si cela ne suffisait pas, on va même vérifier sur internet si ces mésaventures sont effectivement arrivées à des voyageurs, exactement comme lorsque l'on est malade et que l'on veut savoir quelle est cette maladie qui vous fait souffrir, et que la quantité astronomique d'informations lues, exactes ou farfelues, font qu'à la fin vous êtes encore plus malade !

Mais miracle de l'Amérique latine, ces angoisses qui précèdent chaque fois l'arrivée dans une nouvelle ville s'évanouissent sitôt arrivé ! Sauf à faire du cabotage de village en village, les compagnies de bus n'ont rien à envier aux prestations de certaines compagnies aériennes européennes, avec l'ambiance latine en plus, on y mange, on y dort, on y parle avec les voisins qui, eux, vous donnent les bons conseils, les bonnes adresses, où s'arrêter, où dormir...

En trois mois de vagabondages en bus à travers le continent sud américain, je n'ai jamais rencontré ces voleurs qui profitent de votre sommeil, pour ouvrir votre sac au cutter et vous voler ce qu'il contient de précieux ; pas vu non plus ces faux-flics qui vous

attirent à l’écart sous prétexte de contrôle d’identité et qui vous dévalisent ; pas plus que ces douaniers corrompus qui au moment de la fouille se servent dans vos bagages….

 

Sans doute la chance était-elle avec moi, mais quand c’est comme ça tous les jours pendant trois mois on peut parler d’autre chose.

Si l’on est croyant, on va trouver des « esprits » qui veillent sur nous et qui nous protègent tout le long du chemin ; si l’on ne sait pas trop en quoi croire…on voit des « signes », qui ne peuvent pas toujours être le fruit du hasard, comme la première personne qui m’a hébergé au Chili , Angelica, qui est née comme moi un 5 décembre ; ou comme cette fille de Cali rencontrée dans un bus vers Salta , dans le nord de l’Argentine, que j’ai retrouvée dans un autre bus entre l’Equateur et la Colombie ; ou encore ce rêve de tremblement de terre que je faisais pendant mon sommeil dans un bus de nuit, et d’apprendre le lendemain matin que la terre avait effectivement tremblée à Mendoza, ville que j’avais quitté la veille.

Les probabilités que tout cela arrive sont quasi-nulles, et on attribue donc toujours à ce genre d’évènements des explications plus ou moins mystiques !

Avant un tel voyage, on peut partir…athée, devenir…agnostique sur le chemin, et un peu…illuminé au retour !

...........pour la suite....il faut acheter le livre !!!

12 octobre 2011

« Je veux vivre dans un monde où les êtres seront

photo page3

« Je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains, sans autres titres que celui-ci, sans être obsédés par une règle, par un mot, par une étiquette »

 « Quiero vivir en un mundo en que los seres sean solamente humanos, sin mas título que ese, sin darse en la cabeza con una regla, con una palabra, con una etiqueta."»

  PABLO NERUDA

 

C'est par ces mots qu'Ernesto Guevara commence son Voyage à motocyclette [éd. Mille et Une Nuits, 1997], "…cette déambulation sans but à travers notre Amérique majuscule qui m'a changé plus que je ne l'aurais cru"...

 Es con estas palabras que Ernesto Guevara comienza su “Diarios de motocicleta (Editorial Planeta Arg. 1997.) “…….. Este vagar sin rumbo por nuestra Mayúscula América me ha cambiado más de lo que creí. “

ERNESTO CHE GUEVARA

11 octobre 2011

Mon livre est paru aux éditions Mers du Sud . les

che01  promo livres   

Mon livre est paru aux éditions Mers du Sud .

les bénéfices des ventes de ce livre sont reversés à la fondation FUNDANCER  de Bogotà en Colombie, qui vient en aide aux enfants atteints de cancer.

Vous trouverez sur mon autre blog (www.colombia2011.canalblog.com) des détails sur cette fondation avec qui je collabore.

Ce livre est en vente 16 euros, vous pouvez le commander sur le site www.lulu.com (recherche guevara) ou directement en me contactant (expédition sous 48 heures)

Il sera également disponible dans une version espagnole courant novembre...che02

ci-dessous je vous mets les premières pages du livre.....

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SUR LES TRACES DU CHE
  • Un "road-movie initiatique", seul et en bus, pendant plusieurs mois à travers l'Amerique du sud, de l'Argentine à la Colombie, sur les traces de CHE GUEVARA. Un livre vendu au profit d'enfants atteints de cancer en Colombie.
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